Source: Divorce
Divorcer n’est agréable pour personne, ni pour le couple, ni pour ses enfants, ni pour l’époux, ni pour l’épouse, ni pour leurs familles respectives, ni pour les amis de l’un et de l’autre. En plus d’un constat d’échec, ou tout du moins du fait qu’une grande page de vie, avec tout ce que cela comporte d’habitudes et de souvenirs, s’achève, il faut aussi se confronter à la loi. Or, en matière de divorce, qui dit loi dit aussi « faire les comptes » (répartition des biens, pensions, etc..), ce qui tend, naturellement, aux « règlements de comptes » entre époux
Or, justement, comme on peut le découvrir en détail sur divorce.ch (https://divorce.ch/), la législation suisse concernant les divorces a été juridiquement très simplifiée, ce qui en a, du même coup, assaini les aspects psychologiques et relationnels. En effet, la notion de « ‘faute conjugale » n’y est plus prise en compte et les critères des juges ne s’intéressent plus tant aux causes du divorce qu’à ses effets factuels (qui va garder la maison, comment va s’organiser la garde des enfants…
Cela dit, et même s’ils optent à leur grande majorité (9 couples sur 10) pour la version la plus simplifiée du divorce suisse, à savoir celle du « consentement mutuel », les suisses peuvent encore divorcer à l’ancienne, ce qui s’impose si l’un des deux époux refuse de divorcer ou si les enjeux patrimoniaux sont vraiment complexes. Évidemment, ces deux formes de divorce suisse n’ont pas du tout le même coût !
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