En Suisse, depuis l’an 2000, il y a deux façons différentes de divorcer, certes. On peut y divorcer de manière « classique » ou « par consentement mutuel », autrement dit d’un commun accord. Cependant, non seulement l’une et l’autre formes de divorce ont été amplement standardisées, mais, et surtout, « juridiquement réorientées ». Désormais, les raisons conjugales qui ont conduit au divorce ne sont plus prises en compte par la loi. Seule compte une gestion équitable de ses conséquences pour la vie post-divorce des uns et des autres.
Bref, sauf, évidemment, délits pénaux (enlèvement d’enfant, violence, en cas de séparation pénétration sans autorisation dans le domicile de l’autre, etc.) le « à qui la faute ? » n’est plus du tout une question pertinente pour la justice suisse, et aucun des deux conjoints ne peut espérer « tirer la couverture à lui » avec ce genre d’argument, même dans une procédure « classique » ! Résultat, aujourd’hui, 9 divorcés sur 10, ont divorcé à l’amiable en Suisse !
Il faut dire que le divorce suisse à l’amiable est simple, rapide à obtenir et peu coûteux ! Il « suffit » aux conjoints de remplir correctement leur convention de divorce suisse (https://divorce.ch/tout-sur-le-divorce/le-divorce-par-consentement-mutuel). Ceux qui se font accompagner par divorce.ch, par exemple, peuvent divorcer sans avocat en 3 mois, pour la modique somme de CFH 555.- plus les droits de greffe de leur canton (qui attention sont vraiment très variables selon les cantons) !
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